Point fort de nos benjamins, cette spécialité leur a permis de glaner un maximum de points.


Cinq de nos 2001 pointent dans les 8 premiers, ce qui illustre une nouvelle fois l’homogénéité unique de cette génération. C’est Léo Caulier (2ème au général) qui mène le bal cette fois-ci. Léo est passé maitre dans l’art de tourner vite les bras, atout indispensable sur un 50, il signe donc un très bon 36’’07 sur la distance. A peine derrière lui, Pierre Tranchant étonne en nageant de mieux en mieux, la taille n’est plus son seul atout maintenant (36’’20). Viennent ensuite Florent Macaire (36’’98) encore gêné par son manque de synchronisation des bras, Pascal Meyer (37’’17) manquant un peu de dynamisme sur les épreuves courtes et Tristan Macaire (petit mais il fait le maximum) en 37’’45. Pour tous les records personnels ont été explosés. Un peu plus loin, on trouve Rémi Brazzolotto (39’’09), Eric Vazart (39’’95), Romain Favier (42’’56) et Nicolas Eyer (47’’58).

Pas vraiment de match chez les 2002 puisque Fantin Macaire domine haut la main en emportant l’épreuve en 37’’09 (704 pts). C’est Antoine Millet qui suit en 42’’13, puis vient ensuite Hugo Molé en 43’’59. Les deux s’affirment de plus en plus dans cette discipline. Lilian Crtaud (44’’23) est maintenant mieux placé sur l’eau, plus horizontal, mais avec un battement plus propulsif cela irait encore plus vite. Même remarque pour Youenn Tassy Renan (47’’37), qui a remplacé les battements par des ciseaux de jambes, et Samy Labaoui (47’’87) qui lui effectue 2 battements par cycle de bras (au lieu de 6).

En conclusion, si l’épreuve de dos a conforté la force des 2001, quelques lacunes techniques privent encore beaucoup de 2002 des moyens de performer sur cette épreuve, ce qui est dommage. Il conviendra donc de retravailler certains points faibles à l’entrainement.