Le chef de file de la natation st-egrèvoise n’a pas raté son entrée en matière, il monte sur la 2ème marche du podium du 100 brasse en approchant son record personnel grand bassin (1’07’’20 contre 1’07’’18). Nous en profitons pour remercier Lou qui en a profité pour immortaliser l’instant (voir photo). Une médaille de plus pour notre recordman. Sur le 50 il a tenté de modifier sa technique de nage habituelle, un risque que l’on peut courir dans un meeting, cela s’est soldé par des temps en retrait : 31’’78 et 31’’85, pas concluant pour l’instant donc.

 

Passée de l’autre coté de la caméra Lou Gautier a une fois de plus réussi son 400 4 Nages (son épreuve fétiche du moment), nouveau record personnel, nouvelle joie : 5’33’’69.

 

Palmarès moins fourni qu’au meeting des 28 et 29 avril pour Antoine Millet mais un record personnel sur le 400 libre en 4’45’’91 et surtout une médaille de bronze chez les juniors sur le 100 dos en 1’05’’83 démontre amplement que le cadet des Millet fait maintenant parti des hommes forts de l’USSE.

 

C’est Julia qui s’en sort le mieux chez les Andrejevic, elle s’octroie un record personnel tous bassins sur le 50 papillon (36’’63) mais s’avère moins fraiche sur le 200 libre (2’31’’92). Sa sœur Vanessa performe à un bon niveau mais sans record à la clé (1’13’’99 au 100 dos, 2’37’’56 au 200 dos). Alexandre, sans entrainement cette semaine, est un peu en-dessous du meeting du Grésivaudan (100 dos en 1’14’’98, 50 libre en 32’’58).

 

Habituée à réussir en permanence, Candice Blanc ne modifie pas ses habitudes. Son 50 papillon en 34’’78 est remarquable et son 200 libre repousse encore plus loin ses limites (2’29’’47) mais en-a-t-elle vraiment ?

 

Journée 400 pour Rémi Brazzolotto. Le puissant Rémi a encore sévi. Un 400 libre qui n’est pas dans ses habitudes mais qui est fort bien géré (4’49’’62), un 400 4N dont il sort grandi, un beau panel de qualités c’est certain. On appréciera surtout ce 100 papillon du 400 4N qui pour une fois n’est pas un calvaire (1’11’’44) et qui se traduit au final par un temps à l’arrivée de 5’13’’93, une progression hors norme pour des choix hors nomes.

 

Nicolas Eyer est l’homme en forme du moment. Ayant gravi grâce à sa force de volonté l’échelon régional, il se fait maintenant plaisir quasiment à chaque compétition. Les records personnels tombent donc par poignées : 400 libre en 4’49’’65, 50 papillon en 32’’10. Une petite mention spéciale pour le 200 crawl en 2’16’’29 qui révèle de gros progrès dans la gestion de course (1’07’’33 – 1’08’’96).

 

Début d’un petit marathon pour Marianne Guillon qui réussit avec brio ses incursions en nage libre : 400 en 5’34’’89, 200 en 2’37’’31. Des qualités de fondeuse naissent. Moins de réussite cependant sur le 50 brasse (40’’80) et le 50 papillon (35’’77) qui deviennent un peu trop courts pour la demoiselle.

 

Si Nicolas est l’homme en forme du moment, Héléna Meunier est son homologue féminin, elle sévit autant en bassin de 50 m qu’en 25. Cela se traduit par un remarquable 100 brasse en 1’25’’60 accompagnée d’une escapade réussie sur le 50 papillon en 39’’50. Elle est devenue une brasseuse très performante.

 

Maëlle Odille était contente de participer. Peu impressionnée par le bassin de 50 m, elle glane des dixièmes dans toutes les disciplines, quatre records personnels viennent donc récompenser la miss : 200 libre en 2’50’’50, 50 papillon en 39’’73, 100 brasse en 1’32’’88, 50 brasse en 42’’88. Une expérience à renouveler.

 

Forte elle l’est encore et toujours, Alice Paillard s’est cependant alignée sur des épreuves la mettant moins en valeur. En forme mais sans plus sur le 200 libre, elle touche le mur en 2’18’’70 tandis qu’au 100 dos, elle plafonne à 1’17’’32. Un 400 en 5’04’’84 lui permet toutefois de battre un record personnel dans la journée, le lendemain s’annonce cependant plus en phase avec ses qualités de puncheur.