Le club ne peut que se féliciter de posséder une génération 2001-2002 de très grand talent, peut-être d’ailleurs unique dans les annales du club, le niveau moyen est stupéfiant.photo_groupe_site.jpg


Rémi Brazzolotto : En grand progrès en crawl et en brasse, Rémi fait maintenant parti de ces nageurs rapides (32’’98 au 50 libre, 43’’58 au 50 brasse) qui n’apparaissent pas encore au premier plan mais peuvent en faire partie à très court terme. Sa vitesse de pointe pour un benjamin est devnue remarquable, d’autant qu’on le sait aussi très endurant.

Léo Caulier : in rien en retrait en nage libre (33’’12), Léo emporte une médaille de bronze bien méritée au 50 dos (37’’06). Monsieur explosivité sait sur un 50 engager la 5ème vitesse lorsque c’est nécessaire et c’est un sacré atout en sprint.

Lilian Curtaud : Pas de médaille pour notre spécialiste de la brasse, mais une seconde glanée au 50 (45’’43) lui permet de l’envisager pour 2014. Dommage seulement que Lilian ne puisse encore être au même niveau dans une autre spécialité, la diversification doit être l’un de ses objectifs à venir (50 papillon en 46’’18).

Nicolas Eyer : notre bombe humane a encore frappé. Alors même que Nicolas n’est pas encore très grand, il a réussi l’exploit de réaliser 36’’53 au 50 libre. De plus en plus compétitif, sa capacité à sublimer son énergie lui permet d’espérer être un grand sprinter à terme. Tout comme Lilian il conviendra quand même qu’il puisse exporter ceci dans d’autres nages, un rien de technique en plus serait nécessaire en papillon (46’’95).

Romain Favier : A l’image de Nicolas, Romain se rapproche des meilleurs à grands pas (37’’73 au 50 libre), il lui reste à lui aussi à s’affirmer dans d’autres spécialités que la nage libre. Technicien, fluide dans ces prises d’eau, Romain progresse très vite.

Samy Labaoui : Un bon 50 brasse en 48’’11 mais un 50 libre moyen (41’’90) ponctue sa journée. Samy possède tous les atouts pour performer en brasse, il conviendra cependant qu’il maitrise un rien plus sa nage pour aller plus loin, cela viendra !

Fantin Macaire : deux secondes en moins sur le 50 papillon (36’’50), deux sur le 50 dos (38’’14), Fantin est toujours sur la pente ascendante. Son toucher remarquable lui donne un grand avantage dans les placements, plus d’explosivité lui permettrait d’optimiser encore ses temps.

Florent Macaire : un rien en dessous de d’habitude coté pêche mais néanmoins deux records personnels à la clé (50 libre en 31’’62, 50 brasse en 42’’03). Pas de finale A pour lui cette fois-ci mais à sa décharge il était fiévreux et donc plutôt handicapé ce jour. Florent est néanmoins toujours l’un de nos nageurs de pointe.

Pascal Meyer : on le savait endurant, on le sait maintenant rapide, son 50 libre en 31’’14 (record personnel) et son 50 brasse agrémenté d’une médaille d’argent en attestent. Pascal est une force tranquille qui s’affirme de plus en plus comme un futur grand nageur.photo_psacal_site.jpg

Antoine Millet : Sa fougue naturelle et sa combativité compensent en parti son âge (2002). Antoine réalise un bon parcours (44’’17 en dos, 41’’38 en papillon) et continue à s’améliorer dans tous les domaines, nul doute que cela paye vite.

Hugo Molè : merveilleux esthète en dos et crawl, une nage en souplesse un rien bridé par un gabarit encore trop fin, néanmoins les progrès suivent : 50 libre en 37’’55, 50 brasse en 47’’14, il reste cependant à surveiller le papillon qui tend à être dissymétrique, l’un des très bons nageurs de demain (2002).

Youenn Tassy-Renan : passage sous les 40’’ pour la première fois (50 libre en 39’’38). Youenn reste néanmoins fondamentalement un brasseur qui tend à exporter cette nage partout. Peut aussi devenir un bon papillonneur s’il élimine les ciseaux (disqualifiables) de son répertoire. Plus de concentration devrait lui autoriser de bonne surprises à moyen terme.

Pierre Tranchant : une médaille d’argent au 50 libre illustre parfaitement la puissance colossale de Pierre. Il peut fêter ce jour son passage sous les 30’’ (29’’60). Bon brasseur (41’’89) il apparaît encore insuffisamment capable d’optimiser sa nage dans cette spécialité. Pierre est le sprinter d’aujourd’hui, on lui souhaite de continuer dans cette voie.photo_pierre.jpg

Eric Vazart : il est certain qu’Eric n’est pas avantagé sur des 50, sa nage très contrôlée lui permet de briller sur du demi-fond. Eric était à son meilleur niveau (50 libre en 34’’45, 50 dos en 39’’19) mais nul doute que les 800 du Natahlon à venir lui permettront de s’exprimer mieux.

Je me permets d’insister pour finir sur l’extrême homogénéité des benjamins. Au jour d’aujourd’hui nous sommes incapables de dire qui seront les champions de demain car l’écart entre les plus forts et les plus faibles est très tenu et je tiens le pari que certains de ceux qui ne gagnent pas de médaille pour l’instant sont promis à un grand avenir.