S’il existe un avantage à pratiquer la compétition c‘est bien celui de voir beaucoup ses camarades et donc de se faire de très bons amis.

Lorsque vous avez passé plus de temps avec vos copains qu’avec vos parents, des liens se nouent et certains perdurent longtemps, très longtemps et peut-être indéfiniment.

Je ne peux nier que mes amis sont tous sortis du sérail de la natation alors quoi de plus naturels que ces retrouvailles de la génération 74 souhaitées par une majorité des filles nées cette année là.


La génération 74 a été l’une des plus fertiles du club, elle a été celle aussi qui a le plus voyagé, et même bourlingué. Lorsqu’au milieu des années 80, la natation st-egrèvois bourgeonne et entre petit à petit dans le giron des grands clubs de la région, un groupe d’enfants nés de 1971 à 1976 va former l’ossature de cette armada novatrice. Au sein de cette équipe soudée, neuf étaient nés l’année du tigre, six se retrouvèrent le week-end dernier pour la simple satisfaction de passer une journée ensemble si longtemps après.
Bien évidemment les six ondines de 35 ans présentes ne s’étaient pas déplacées seules mais avec une « marmaille » abondante : seize enfants. Au menu, un rien de regard sur le passé avec quelques inévitables albums photos souvenirs (les stages à Bourg-Saint-Maurice pendant les mois d’été, les nationaux 3 et 2 de l’époque…) mais surtout bien sûr l’évocation du présent.

Ci-dessous de gauche à droite sous leur nom de jeune filles : Aline Vilcoq, Sabine Noiré, Karine Pividori, Magali Taulan, Sandrine Gramusset et Céline Nantas.

Génération 74

Un plaisir immense pour leur entraîneur de l’époque qui a été l’un des photographes de la journée (eh oui il a ses entrées partout, d’autant que la fête se passait chez lui…).