La discipline a été de rigueur, tout le monde fut à l’heure cette année. Départ donc vers Hauteville mais par quelle route ??? Eh oui, on peut dire que l’inconnu est toujours au rendez-vous. Après être passé sur un chemin de traverse la première année, avoir tenté le passage par Chambéry en 2015 (très lent, je ne recommande pas), avoir usé les routes d’au moins cinq itinéraires différents, nous avons tenté le passage par l’autoroute jusqu’à Ambérieu. Pas mal, pas vraiment plus rapide mais le chauffeur était sympathique et la route vraiment inédite…
Arrivée au centre à 16 H 15 donc. C’est Francy qui nous accueillit cette année. Un minibus fut affrété pour les bagages avec ce même Francy comme conducteur et le duo Julien-Pascal réquisitionnés comme bagagistes-déménageurs.
Une fois que des nageurs avides de se dépenser aient atteint le gîte Myere aux-aussi, c’est-à-dire vers 16 H 45, la mise en place des chambrées commença. Premier changement au bout de 5 minutes afin de réorganiser les chambres, les 8 garçons de 2001 et les 9 plus jeunes inversent les leurs afin que chacun ait la place nécessaire. Les 2001 sont sympas, ils râlent un peu, les lits ayant été faits mais ils se réinstallent quand même. Seulement voilà, dix minutes après nouvelle réorganisation. Pour la tranquillité de tous, les garçons 2001 déménagent de nouveau, ils sont « bonne pâte », il faut bien l’avouer.
A 17 H 22 : direction piscine, le groupe continue à galoper, impossible pour les cadres de suivre le rythme, ils sont tous en pleine forme.
17 H 30 : attente du code d’ouverture à la piscine. Hélas celui-ci est bon mais quelqu’un a oublié la présence de l’USSE et a fermé la porte à clé. Après de multiples tentatives Francy trouve le responsable de l’entretien, il est capable de nous ouvrir. Les nageurs sont fébriles, on a près d’une heure de retard.
18 H 05 : mise en place des lignes puis l’on attaque. Les 2001-2002 ont le temps de se mettre dans le coup même si les vagues sont gênantes : 3200 m à leur actif, les autres à l’exception des 2006-2007 qui se limiteront à 1100 m, culmineront à 3000, c’est déjà très bien ! 
Repas à 19 H 30, personne ne se plaint. Marche à 20 H direction le gîte Meyer, les entraineurs sont semés, la fatigue n’est toujours pas d’actualité chez les nageurs, que les parents se rassurent.
Réunion au sommet à 20 H 30 afin de planifier la journée du lendemain.
20 H 45 les loups-garous rôdent, il ne fait pas bon circuler dans la salle principale du collectif.
21 H 15 : les sirènes virtuelles commencent à retentir (la douce voix des éducateurs en fait qui rappellent aux nageurs les vertus d’un bon sommeil), objectif : extinction des feux à 22 H.
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