Rarement surpeuplée, cette compétition, dont l’édition 2016 a eu lieu le dimanche 14 février, a été l’occasion pour sept st-egrèvois de mettre quelques records à jour et même pour quatre d’entre eux de recevoir de belles récompenses.
Merci à Pascal Schaeller pour la photo.
Lisa Schaeller ne se rend pas. Malgré des problèmes insolubles de douleurs au genou, elle continue à arpenter le bassin de St-Martin le Vinoux avec ses bras seuls et cela paie puisqu’elle finit 1ère du classement combiné minimes avec un excellent 200 nage libre en 2’32’’23 en prime. Excellent car réalisé sans combinaison.
Vanessa Andrejevic est sa dauphine sur le podium. Pas de records pour Vanessa mais une bonne compétition d’entrainement.
Julia, sa sœur finit 4ème. Deux records personnels à son actif : 39’’90 au 50 dos et 3’02’’10 au 200 dos. C’est cependant au 200 libre qu’elle a le plus impressionné puisqu’elle réalise 2’36’’43, elle aussi sans combinaison. La demoiselle commence à prendre confiance et sa nage s’en ressent, on ne peut que s’enthousiasmer de la voir nager ainsi.
Maëlle Vair nage très très bien le crawl, un 50 libre en 34’’14 en atteste même si les sorties de coulées sont encore à peaufiner, elle s’offre aussi un 200 papillon en 3’16’’13. Son 50 pap en 37’’80 est très proche de son meilleur (37’’78). Maëlle commence à acquérir « de la pêche », parfait !
Rémi Brazzolotto n’était guère en forme, il prend une 4ème place au combiné mais ce fût un bon entrainement pour celui qui est en pleine préparation intensive pour les nationaux 2. La forme viendra en temps utile.
Nicolas Eyer est toujours avide de performances. Notre centrale énergétique humaine continue sa marche en avant au 200 libre en glanant encore deux secondes (2’34’’48 cette fois-ci). Il devient de plus en plus compétitif et c’est mérité.
Samy Labaoui n’a pu nager beaucoup en compétition cette année mais chacune est l’occasion d’un nouveau pas en avant. Moirans lui permet de remettre son 50 libre à jour (35’’58) même si c’est en brasse qu’il est le meilleur, un bon 3’16’’51 vient saluer sa prestation du jour.
Au final on gardera le souvenir d’une compétition bon enfant, riche en enseignements techniques.
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